Tout au bout de la langue de Barbarie, le fleuve vient lêcher les pattes des crabes jaunes à périscopes.

Là-bas, les crustacés ont la paix, pas comme les vendeurs de statuettes qui s'épuisent à négocier leurs verroteries aux touristes enduits de crème.

Avec tout ce sable et quelques coquillages, on pourrait construire beaucoup de chateaux en Espagne.